Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 12:23
Comme toujours lorsque je sors, mes sens sont en éveil. Ma perception s'aiguise et ce d'autant plus lorsque je suis accompagnée de MON mec. Il est mien et m'appartient donc en propre. Soyons clairs, cela signifie que toute putain qui s'aviserait de s'en approcher, serait sauvagement mutilée (dois-je préciser qu'il faut prendre l'expression au sens propre?).

Soirée sympathique mais... Mais une amie de longue date rit, discute avec mon homme. Je sens mes griffes tinter les unes contre les autres. Je bois un verre de vin, afin de relâcher la pression, et continue à bavarder, feignant un calme parfait. Mon esprit se scinde en deux parties distinctes. Sourire plaqué sur le visage, je discute. Seules mes griffes trahissent l'ébullition des images qui défilent sous mes paupières, j'entaille le gobelet qui contient du vin. Je souris toujours tout, l'esprit aux aguets. J'affiche une douceur que ceux qui me connaissent bien, savent annonciatrice d'une rage intérieure. Si cette pouf ne s'éloigne pas rapidement, je la saignerai sans pitié telle la truie hystérique qu'elle est. Le plan est ourdi, simple et efficace. Sous prétexte de réaliser des photos en extérieur, j'entraînerai ma proie vers un lieu propice à son exécution. Je tâte le tranchant de mes lames, il me convient. Je la saisirai à la gorge jusqu'à couper sa respiration tandis que mes scalpels pénêtreront la peau fine du cou, le sang perle. J'aime sa texture et son odeur fade, presque nauséeuse. Je crache au visage de la chienne tout en lui faisant plier le genou à terre, c'est la place de cette rampante. Un vrai sourire se lit sur mon visage pendant que mes griffes écartent sa paupière droite. Je fais pénêtrer la longueur de mon annulaire dans son oeil droit et le vrille. Je ris et baffe la putain. Je me rue sur son oeil gauche que j'aveugle à présent. La loque geint. Je n'apprécie pas les couinements! Quelques baffes plus tard, mes dix lames cisèlent son visage, je sens les bribes de chair rentrer sous mes ongles. Odeur puissante du sang, ivresse de lacérer ainsi, de châtier celle dont le seul tort a été de s'approcher un peu trop près de MON mec. Orgueil du caractère définitif  de la punition.
Certes, la réalité est autre. Mais, franchir ce pas ne me coûte pas, ne m'a jamais coûté. La douleur et la terreur que j'inflige sont sources de jouissance. Et si cette truie croise à nouveau ma route, je la soumettrai probablement............
Par Pantera - Publié dans : Fun
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